Dance learning in motion: global dance education
Reports indicate that dance educators have the best intentions when offering dance experiences for young people and provide pre-service and in-service programs and professional development for those who teach dance in formal and non-formal settings. There is support of major dance and arts organisations as well as the goals of UNESCO that affirm the importance of arts education and encourage the research and practice to provide lifelong and intergenerational learning in, about and through arts education and, in this case, dance education. However, while we advocate for the inclusion of the arts and dance, there is a need to create insight into what is being taught and how young people experience this and, indeed, how it reflects the goals of a basic education as it is described in most core curricula at different places around the world. This study involves several countries (Finland, Ghana, USA, Denmark, Germany, Australia, Canada, New Zealand, Taiwan, Brazil and Hong Kong) and attempts to capture the narratives and contexts from lived experiences of students and graduates in both formal and non-formal settings. In January and February 2014, participants will be asked to complete a short 15-minute questionnaire. Analysis will involve the following process: 1) bracketing the narrative comments to identify recurring themes; and 2) delineating into units of meaning relevant to the participants’ experience in dance. A composite summary of the data will describe the experiential similarities and differences between the participants’ experiences in dance and provide recommendations for appropriate dance experiences for young people.
Les rapports indiquent que les éducateurs en danse ont les meilleures intentions lorsqu’ils permettent aux jeunes enfants de pratiquer la danse et proposent des programmes de formation initiale et continue et de suivi de carrière aux enseignants de la danse, qu’ils exercent dans des cadres officiels ou non. Les principales organisations chorégraphiques et artistiques apportent leur soutien et l’UNESCO, dans ses objectifs, affirme l’importance de l’enseignement artistique et encourage recherche et pratique pour permettre d’acquérir une formation dans cet enseignement – dans ce cas précis, celui de la danse –, autour de lui, à travers lui. Mais, bien que nous défendions cette intégration des arts et de la danse, il faut de nouvelles idées sur ce qui devrait être enseigné et sur la façon dont les jeunes enfants vivent ce et – et donc sur la façon dont cela reflète les buts d’une éducation de base telle que décrite au cœur de la plupart des programmes en différents endroits du monde. Cette étude met en jeu plusieurs pays – Finlande, Ghana, États-Unis, Danemark, Allemagne, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Taiwan, Brésil et Hong Kong. À travers elle, on souhaite recueillir les récits, et leurs contextes, d’expériences vécues par les étudiants, avant ou après leur diplôme, dans des cadres officiels ou non officiels. En janvier et février 2014, on a demandé aux participants de consacrer une quinzaine de minutes à remplir un court questionnaire. L’analyse se fera selon le processus suivant : 1) les commentaires écrits seront classés pour faire ressortir des thèmes récurrents ; 2) ils seront répartis par groupes de sens adaptés à l’expérience en danse des participants. Une récapitulation composite des données décrira les ressemblances et les dissemblances expérimentales entre les expériences en danse des participants et fournira des recommandations pour un contact approprié avec la danse pour les jeunes enfants.
Ann Kipling Brown University of Regina, Canada
Susan Koff New York University, USA
Jeff Meiners University of South Australia
Charlotte Svendler Nielson University of Copenhagen, Denmark