Approaches to dance education: looking at learning in the dance studio in relation to creativity, somatics and collaborative learning
This paper focuses on research conducted in a general education dance course (Dance 101G) at the University of Auckland, with students from multiple academic disciplines with varying dance experience. This qualitative research aimed to look at approaches to dance education in terms of what students need to know, how key concepts in dance education are delivered and the barriers in student learning in the dance classroom. The research specifically drew on Meyer and Land’s (2003) thresh old concept theory as a framework for investigating personal dance education practices. What are the threshold concepts in Dance 101G? Are they applicable across the board for dance education? The research provides a unique way of looking at learning in the dance studio in relation to creativity, somatics and collaborative learning, by suggesting that it can be student’s dispositions that may present a barrier to their learning journey as opposed to a deficiency of technique, skill or content knowledge. The findings and significance of this research extend into broader dance education teaching and learning. The studio pedagogy and experiential learning require students to learn in a way that is divergent from the conventional lecture theatre, using their bodies as a site for exploration and generator of knowledge. The distinct teaching and learning experience of Dance 101G also requires nuanced pedagogical strategies, which can be applicable to educators that engage in studio pedagogy and teaching through experiential learning.
Cette présentation est centrée sur la recherche menée dans un cours d’enseignement général de danse (Dance 101G) à l’Université d’Auckland avec des étudiants venant de diverses disciplines et ayant des expériences variées en danse. L’objectif de ce travail de recherche est de regarder l’approche de l’enseignement en danse sous l’angle de ce que les étudiants ont besoin de savoir, de la façon dont les concepts clés de la danse sont présentés et des barrières dans l’apprentissage des étudiants dans la classe de danse. Ce travail de recherche fait spécifiquement appel à la notion de seuil conceptuel de Meyer et Land (2003) qui constitue un cadre pour étudier les pratiques personnelles dans l’enseignement de la danse. Quels étaient les seuils conceptuels à Dance 101G? Sont-ils applicables à tous les niveaux de l’enseignement de la danse? La recherche fournit une façon unique d’observer comment on étudie dans le studio de danse en relation avec la créativité, la somatique et l’apprentissage collaboratif en suggérant qu’il se peut que ce soient les dispositions des étudiants qui dressent un obstacle sur le chemin de leur apprentissage par opposition à une carence dans leur technique, leurs aptitudes ou le contenu de leurs connaissances. Les résultats et la portée de ce travail s’étendent plus généralement à la formation et l’apprentissage de l’enseignement de la danse. La pédagogie du studio et l’apprentissage expérimental exigent des étudiants qu’ils apprennent d’une manière qui s’écarte de ce qui se fait traditionnellement dans les amphithéâtres : ils utilisent leur corps comme site d’exploration et comme générateur de connaissances. L’expérience d’enseignement et d’apprentissage distincte de Dance 101G réclame aussi des stratégies pédagogiques nuancées, qui puissent être appliquées aux enseignants qui se consacrent à la pédagogie et à l’enseignement au studio par des méthodes d’apprentissages expérimentales.
Nicole Pereira
University of Auckland, New Zealand